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Dragon’s Dogma : Dark Arisen - Test sur Playstation 4

lundi 11 décembre 2017, par Dolie de Feick

Sorti initialement en 2012 sur PS3 et XBox puis en 2016 sur PC, ce RPG développé par Capcom profite de souffler sa cinquième bougie pour être porté sur PS4. Le contenu ne change absolument pas des versions déjà sorties sur consoles old-gen ou sur PC mais l’on peut quand même remarquer quelques légères améliorations, mais est-ce suffisant ?

Haut les cœurs

Le jeu débute par un didacticiel où vous incarnez un chevalier assisté par un pion (le jeu les nomme ainsi). Cette phase de jeu vous permet de vous familiariser rapidement avec les différents boutons d’attaques et de défenses ou de ramasser des objets. Dans cette première quête, vous explorez un donjon abandonné croisant sur votre chemin des ennemis dont vous pourrez facilement vous défaire. Une chimère sera le boss final de ce niveau et votre personnage malheureux ouvrira malgré lui la porte libérant ainsi un monstre...

Après une cinématique plutôt bien réussie, vous entrez dans un menu vous demandant de créer votre personnage et de lui donner un nom. Le menu est assez large et bien complet vous permettant de modéliser dans les détails votre personnage : son apparence, sa voix ainsi que votre classe. Cette dernière aura une influence dans vos futurs combats, vous aurez le choix entre être un ou une guerrière, un mage ou un rôdeur. Une fois cela fait, le jeu commence enfin, une nouvelle cinématique place votre personnage fraîchement créé dans un petit village paisible. Paisible jusqu’à ce que le terrible dragon ne décide de tout raser. Armé de votre arme et de votre courage, vous venez à sa rencontre prêt à la terrasser. Mais voilà tout ne se passe pas comme prévu, et le dragon finit par vous arracher le cœur (!) ce qui a pour conséquence de vous lancer une terrible malédiction.

Vous ne serez pas seul dans votre quête, un pion customisable vous accompagnera tout au long de l’aventure et deux autres compagnons de route seront présents également. Leur importance est vitale puisqu’à mesure où les combats s’intensifient l’aide de ces derniers sera essentiel. Attention cependant à ne pas s’en remettre complètement à eux puisque l’IA ne prendra pas de décision seule. Au mieux, vos « pions » répondront à vos ordres simples « à l’aide » ou « En avant », au pire ils rendront vos combats brouillions.

Le gameplay et l’univers

Mis à part quelques problèmes de textures, et notamment un combat contre un boss où nous nous sommes retrouvés coincés entre le sol et le monstre ce qui nous a permis de le terrasser facilement sans prendre le moindre de coup, le jeu reste graphiquement très réussi.

Les interactions entre les personnages et les affinités que vous pourrez tisser avec les PNJ seront primordiales lors des quêtes secondaires que vous pourrez mener. Ces dernières sont d’ailleurs nombreuses et vous permettront de gagner en expérience et de pouvoir faire face à des ennemis toujours plus forts.

La gestion de l’inventaire, de vos armes et de votre personnage est comme tout bon RPG qui se respecte, une partie non négligeable de votre quête.

En conclusion

En bref, même si Dragon’s Dogma ne connait pas de réel changement depuis sa première sortie sur Ps3 et Xbox, il permettra à ceux ou celles qui n’ont pas eu l’occasion d’y jouer de prendre plaisir à découvrir ce titre complet et prenant,de par son histoire et de la gestion de ses personnages très bon.

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